Clôturer, déclore et autres occupations censées

On peut clôturer. Le mot existe. Mais « déclôturer », lui n’existe pas. On peut déclore un pré. Mais, le plus souvent, on ne le clôt pas. On clôt un dossier ou un projet, mais pas un pré, lui, en général, même si on peut le clore, on préfère le clôturer. Allez savoir…

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Bon, et puis, il y a ceux qui en parlent… et ceux qui clôturent, ou qui déclosent ! ^_^

Je suis tout cela. Modestement, bien sûr. 😉

Pour l’enlever, toujours très simple, comme tant de choses si longues à faire, il suffit de déclouer les barbelés, récupérer toutes les pointes (les clous en U), sectionner les barbelés (traîner les grandes longueurs dans l’herbe, à plusieurs, ça va, mais tout seul…), enlever les gros piquets en bois, les rassembler, évacuer le tout vers les endroits appropriés (déchetterie, stock de bois en vue d’un sciage, stock de piquets pour réutilisation)… Hop hop hop, il n’y qu’une longueur de clôture, une petite centaine de mètres (avec 5 fils barbelés tendus, soit juste 500m de fil à découper. Oui, 500m , c’est à dire de là ou vous vous situez maintenant, jusqu’à… ben jusqu’où ? À vous d’y réfléchir…  :o) ) , il n’y en a que pour quelques toutes petites heures, voyages à la brouette compris. 🙂

Comme ce petit chantier, qui rentre dans le cadre de notre grand projet de maîtres du monde, date du mois d’octobre 2013 (oui, je reprends et poursuis ma remontée dans le temps), j’en profite pour vous glisser quelques photos de mes buttes potagères d’alors (pour comparer avec celles d’aujourd’hui), dont l’une sortait tout juste d’une séance de coiffure façon broyage d’engrais verts avant enfouissement.

Parce que déclore, c’est bien, mais allier cela à un peu d’observation jardinière, c’est mieux! :o)

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