Oui, souvenez-vous, l’année 2014 avait été difficile pour les jeunes arbres de mes vergers. N’ayant pas d’engin agricole pour monter l’eau sur les pentes de mes terres, ni de pompe pour parcourir un tel dénivelé sur une telle distance, j’avais tenté la remorque-citerne sur ma tondeuse autoportée 13CV Snapper 13/72.
Une tentative infructueuse, les tondeuses n’étant pas particulièrement habiles et conçues pour tirer de lourdes charges. Même avec les pneus agraires installés.
Pourtant, impossible de ne pas arroser ces 60 jeunes arbres fruitiers répartis sur les vergers pentus. J’ai déjà eu des pertes en 2014, il me faut assurer 2015, pour ne pas encore en avoir.
Ayant un budget limité, l’engin agricole type tracteur n’est pas à ma portée. En effet, aux alentours de 5000€, et il s’en trouve à ce prix-là, des connaissances mécaniques sont requises, car il faudra mettre régulièrement les mains dans le cambouis. Et moi, le cambouis, comme d’autres choses, c’est pas mon truc. Ce n’est pas tant la saleté, c’est plutôt la mécanique, de manière générale, qui ne m’intéresse pas. Et les vieux tracteurs, ben, ils nécessitent de joyeux bricoleurs mécanos à leur volant.
C’est préférable pour ne pas se retrouver à devoir faire emmener un tracteur inerte chez un réparateur (c’est très cher et lourd), ou de devoir faire venir un ou une pote pour le réparer en vitesse (c’est pas cher mais ça peut être lourd… pour eux! ;) ), car on a un besoin ce jour-là. Alors, déjà, l’arrosage risque de prendre du temps, mais si en plus je dois m’inquiéter à chaque démarrage, cela va compliquer la tâche. Or, un petit tracteur fonctionnel, c’est plutôt 10-15000 minimum.
Notez, l’avantage, c’est qu’on peut connecter plein d’outils sur un tracteur. Des trucs pour faire le foin, par exemple. Cela m’aurait plu de le faire moi-même, pour l’instant, je dépends d’agriculteurs voisins.
Mais voilà, c’est comme ça, je n’ai pas les sous pour un tracteur et son entretien! Bon, en plus, le tracteur, c’est lourd, ça tasse la terre, ça pue et ça fume! :)
Alors, j’ai préféré ça :
De plus en plus, dans les campagnes, les professionnels s’équipent avec des quads. D’ailleurs, initialement, le quad, c’était justement pour les professionnels. Ce n’est devenu qu’un engin de loisir par la suite. Un ami éleveur à moi en est équipé, et cela lui rend moult services. Il a aussi un tracteur, mais pour les raisons précitées au paragraphe précédent, il préfère prendre son quad. Il charge une botte de foin à l’arrière, des seaux d’aliments devant, et zou, il part voir ses vaches à un petit kilomètre de là. Il n’écrase plus la terre comme avant, ne fait plus des ornières monstrueuses dans les terres humides, il peut aller faire le tour de ses clôtures rapidement, et peut faire mille choses qui lui rendent bien service.
J’ai donc regardé du côté des quads et, justement, le revendeur près de chez moi avait une occasion sympa, ce quad Polaris 850XP au tiers du prix du neuf.
Avec ses quatre roues motrices sur demande, ses 850cm3 et ses larges pneus, il a largement de quoi subvenir à mes besoins! En fait, c’était même le plus puissant de la gamme pendant longtemps, jusqu’à la sortie d’un 1000cm3 que le propriétaire du 850cm3 s’était acheté. C’est ainsi que ce dernier arrive au Bief!
Ce n’est pas l’achat le plus écologique que j’aurais fait, bien entendu, mais ces arbres doivent être arrosés, et je ne vois que le pétrole qui peut m’aider à y arriver seul (je n’ai pas dit que c’était la seule solution, j’ai dit que c’était la seule pour moi, dans mon quotidien).
Bon, en même temps, son utilisation est très limitée, car je ne m’en sers que pour les arrosages et quelques travaux agricoles sur un terrain de 2,5ha. :)
C’est-à-dire que je descends jusqu’à l’étang, je stoppe le quad sur la digue et je remplis la citerne de 200l avec deux seaux de 13l. Ceci fait (et ce n’est pas rien que d’aller chercher l’eau à l’étang, de remonter et de lever tous ces seaux jusqu’en haut de la citerne sur la remorque!), je monte ensuite au plus haut des vergers. Là, j’arrête à nouveau le quad et branche un tuyau d’arrosage que j’ai installé là. J’arrose les arbres aux alentours en suivant un ordre précis. J’arrive alors au bout de la longueur du tuyau, là, sur ce dernier arbre de la série, se trouve un autre tuyau d’arrosage, je le clippe au précédent, et je peux ainsi descendre encore arroser la série d’arbres suivante. Là, je trouverai encore à sa fin un autre tuyau, qui me fera descendre encore plus bas, jusqu’au suivant etc. J’ai ainsi 5 tuyaux en tout, que je range à l’abri en hiver pour ne pas qu’ils gèlent et je peux arroser l’ensemble des vergers en laissant le quad éteint tout là-haut! :o)
Eteint, ou presque, car je n’ai qu’une cuve de 200l! Oui, le quad pourrait tirer plus, mais, souvenez-vous, j’avais prévu la citerne pour la tondeuse.
Je dois donc interrompre l’arrosage, remonter jusqu’au quad, le rallumer et redescendre à l’étang charger une deuxième citerne de 200l au seau (sic) Je remonte ensuite en haut, restoppe le quad, rebranche le tuyau et redescends là où je m’étais arrêté. Et je reprends alors enfin l’arrosage. Ce n’est pas l’enfer, contrairement à ce que l’ancien propriétaire a laissé ci-dessous, mais c’est en tout cas assez physique et chronophage.
Une fois ces 400l passés sur les arbres, je redescends à l’étang et emplis une troisième citerne (re-sic) qui me servira à arroser, à l’arrosoir, le verger tout en haut, celui planté en 2008. Je ne le fais pas à chaque arrosage, car les arbres sont plus vieux et plus enracinés, mais si le temps est vraiment sec, je leur donne un coup de pouce dans l’année. C’est l’autre trajet représenté sur le schéma ci-dessus.
Sachant qu’en pleine saison chaude, je dois arroser les jeunes arbres tous les 3-4j, le travail est conséquent et physique!
Oui, le terrain en pente, qui n’était qu’une prairie tassée par les vaches et les tracteurs, exposée sud-ouest et aux vents ne permet pas une bonne rétention d’eau pour l’instant. En effet, je dis pour l’instant, car je travaille à pallier ces mineurs problèmes. :) Biodynamie, semis annuels de graminées, légumineuses, plante mellifères et engrais verts sur les prairies, plantation de haies mellifère sur toute la longueur nord, préparations de plantes pour pulvérisations, hôtels à insectes et nids à oiseaux, remplacement des vaches par des moutons, des tracteurs par un quad… D’ici quelques années, on devrait donc voir se recréer une belle couche d’humus!
En tout cas, je vais devoir vendre cette citerne et m’en acheter une plus grande, je perds bien trop de temps avec celle-ci. Ça tombe bien, le modèle au-dessus fait justement 600l. Mais pour cette année 2015, je ferais comme ça! N’ayant pas envie de remplir ces 600l au seau (vu que la citerne sera encore plus haute), il me faudra aussi un système de pompe. Je verrai donc réellement et financièrement cela une autre fois. :)
Le Polaris 850XP est un bel outil de travail.
Un ingénieux système me permet de changer le type d’attache selon la remorque que je veux accrocher.
En enlevant l’attache par clip, je peux échanger rapidement le type d’accroche (remorque agricole ou voiture/caravane)
Par contre, réglé pour la tondeuse, il faudrait ressouder la barre d’accroche de la remorque sur le dessus car, là, elle penche vers l’arrière et si cela ne pose pas de problème avec 200l, ce sera différent avec 600kilos! ;)
Docteur Ordinateur Chauffailles - Roanne permet à ce projet de devenir chaque jour plus concret.
Vous aussi, participez en faisant appel à ma société d'assistance informatique à domicile (dépannage, installation, formation)
Tout d’abord, à tous, ici, au Bief, à Chassigny sous Dun, à la pointe sud du pays Brionnais, au sud de la Saône et Loire, département qui se situe au sud de la Bourgogne, et qui se situera encore au sud de la nouvelle région Bourgogne-Franche-Comté, en France, nous vous souhaitons tous nos meilleurs vœux pour cette nouvelle année qui démarre!!!
Bon, pour le vœu pour la paix dans le monde, il faudra encore attendre un peu visiblement. :(
Mais qui sait, à force d’amour envers nos enfants peut-être y parviendrons-nous ? :)
Si vous passez chez votre vendeur de magazines préféré, n’hésitez pas à aller découvrir la rubrique A Vos Blogs du magazine d’octobre – novembre 2014 de La Maison écologique. S’il est vraiment sérieux et sympathique, ce vendeur devrait avoir ce genre de documentation dans ses rayonnages. :)
Vous y verriez quelques photos du Bief, et vous dire alors…. « Waouw! Quel mag’ extra! C’est dingue cette rubrique et ces blogs qui la composent à chaque numéro! Et celui-ci surtout! Il faut absolument que j’achète ce magazine n°83 et que je m’en inspire pour revoir certaines choses dans ma vie! Enfin, il faut surtout que j’achète quelque chose à mon vendeur préféré si je veux qu’il puisse continuer à l’être, vendeur. ». ^_^
Quant à nous, ici, au Bief, nous allons continuer d’être, tout simplement. :o)
Cette incroyable et éblouissante notoriété qui éclaire aujourd’hui nos vies, pourtant déjà lumineuses, ne nous ravira pas la flamme qui illumine nos cœurs amoureux.
En plus clair, la vie continuera de suivre son cours.
Ce dont personne ne doutait vraiment… :)
Avec aussi ces nombreux chantiers eux aussi en cours…
Ceux dont personne ne doutait vraiment non plus! ;)
De belles fleurs de Tanaisie…
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Extrait d’un dossier que j’ai envoyé récemment qui explique le pourquoi du comment, le comment tout court et d’autres détails divers du même ordre…
En plus clair :
« […]
Créer un nouveau verger conservatoire.
Préserver le nouveau et l’ancien verger (créé en Automne 2008) par la création d’une haie mellifère les protégeant tous deux des vents du nord.
D’installer plusieurs pieds de vigne anciens le long d’un mur d’une stabulation du XVIIe, exposé plein sud.
[…] »
Ça devrait donc ressembler à ceci.
Notez les changements par rapport au croquis précédent.
Entre temps, j’ai eu quelques lectures… dont bien entendu cet ouvrage qui m’a beaucoup servi pour concevoir le design permaculturel (théorique), de notre site : Introduction à la permaculture de Bill Mollison, en vente sur des sites que vous connaissez bien, mais aussi sur http://www.passerelleco.info/article.php?id_article=1708 !
« […]
En effet, nous avons décidé, pour l’entretien de nos terrains et pâturages, d’implanter sur nos terres un projet agroforestier, associant des arbres fruitiers, des arbres fourragers (mûriers, féviers), des moutons, des poules, canards et la faune des forêts et pâturages. Des ruchers sont aussi prévus, mais nous ne les avons pas intégrés dans le présent projet, préférant déjà correctement installer tout le reste.
Ainsi, le verger conservatoire, […], se voit aujourd’hui agrandi, et protégé par une bande forestière au nord. Deux grands pâturages pour des moutons Mérinos (qui seront accueilli en 2013) ont été clôturés. Dans chacune de ces pâtures ont été implantés des arbres dont les feuilles, sur les branches issues de la taille, serviront de fourrage, frais ou séché, pour les moutons.
Les mûriers sont pour cela de très bons arbres fourragers. Ils se taillent très bien en têtard. Les fagots créés peuvent être donnés de suite, ou plus tard en hiver, aux moutons qui vont manger les feuilles directement dans le fagot déposé dans leur mangeoire. Une fois le fagot « nettoyé » de tous les côtés, on peut le stocker pour s’en servir pour le chauffage ou autre usage plus tard. Les feuilles de mûriers sont très riches et appropriées pour le fourrage. Les variétés choisies sont toutes des variétés ayant des feuilles lisses, et non pas « velues » comme certains mûriers noirs produisent, et qui sont moins appréciés des animaux.
Ce fourrage est complété par les cosses et fèves, très riches en sucres, des féviers à trois épines. Chaque arbre adulte peut en produire plusieurs dizaines de kilos par saison.
Les mûres et les fèves nourriront aussi directement les poules et les moutons en tombant au sol. Tout comme les fruits des arbres fruitiers du deuxième verger conservatoire du présent dossier.
Situés en plein pâturage, et protégés des moutons en étant chacun clôturés, les arbres fruitiers profiteront ainsi :
Des apports multiples des poules (déparasitage, apport du fumier…)
D’une protection des vents du nord/nord-ouest par une bande forestière d’une quinzaine de mètres de large environ.
D’une bonne exposition sur une pente exposée sud-ouest, surchauffé par la bande forestière coupe-vent au nord.
De l’entretien et de l’enrichissement de la terre par les moutons.
Créée sur toute la largeur nord de notre propriété, la bande forestière protégera ainsi des vents froids les vergers, les bâtiments (dont notre habitation), une partie de l’étang et tous les êtres vivants au sud de cette protection.
La largeur sud de cette bande forestière a été clôturée en suivant des courbes, créant ainsi plus de longueur linéaire de lisière. Une longue haie mellifère constituera cette lisière sud !
De par sa situation privilégiée, coincée entre les bois et les pâturages, la lisière est un univers un peu à part, très riche, propice à de nombreux échanges entre les faunes et les végétaux des deux milieux différents qu’elle joint, plutôt qu’elle ne sépare.
Composée d’essences mellifères, la lisière permettra des échanges encore plus riches, plus utiles. Sans compter l’indéniable esthétique de cette longue lisière, visible depuis le chemin d’accès au lieu-dit du Bief.
[…]
Cette haie mellifère, d’une longueur d’environ 160m (un peu moins de 110m sans les courbes), ainsi que les nombreux arbres fruitiers présents sur le site joueront un rôle très important pour l’intégration future des ruches.
Il reste encore de la place pour implanter de nombreux autres arbres, ou petits fruits, dans le futur. Les projets peuvent être encore nombreux, le potentiel reste présent, mais le temps est manquant et très volatile !
Vous remerciant de l’intérêt porté à ce dossier, je vous prie d’agréer mes sincères salutations.
»
Voilà, les remerciements valent aussi pour vous du coup ! ;o)
Voilà donc le projet tel qu’il a été présenté, et tel qu’il devrait donc être !
D’ailleurs, une certaine partie de ce qui est décrit ci-dessus est déjà en place !
Un article à venir devrait faire le point sur ce point… c’est dire ! ;)
A droite, la future bande forestière, devant, les deux futurs pâturages, à gauche, le premier verger, que l’on ne voit pas sur la photo… :)
Et voici la liste des arbres numérotés sur le schéma (ça va en faire des mots clé sur cet article… ;o) :
Un croquis, comme il y en a eu beaucoup d’autres… Celui-ci commençait à se rapprocher de la réalité, de ce qui sera.
Et parce qu’avant tout, ou presque, il y a des idées, des temps d’observation, des tas d’observations, des croquis, des rencontres, des discussions, des lectures et tant d’autres choses encore !
Et puis, il y a aussi de longues longues longues réflexions… ^_^
Ah ben oui… c’est un grand jardin, il fallait donc une grande photo…
Que de temps !
Ô oui ! Ô combien d’heures ! Ô combien de neurones ai-je brûlé sur l’autel de ces flottantes et vaporeuses pensées !
Combien de fois ai-je contemplé ces magnifiques terrains qui nous environnent ? Pensif, appuyé sur la réalité du terrain, je cherche à comprendre d’où viennent les choses.
Pourquoi par là ? Et pourquoi pas par ici ?
Pourquoi ici l’herbe est plus verte ? Pourquoi ici pousse cette herbe ? Pourquoi ici ne pousse-t-elle pas ? Et si les choses étaient ainsi ? Ou plutôt comme ça ? Et dans 10 ans ? Et dans trente ans ? Et dans 60 ?
A la recherche de réponses aussi futiles que naturelles, je tente de comprendre le terrain, de voir ce qu’il peut m’apporter ici, ce qu’il m’offre là-bas, ce que je peux lui donner ici-bas. Bref, je fais un truc qui doit finalement me plaire, je remue les choses sans cesser de les tourner et retourner, et dans ce joyeux fatras de questions/réponse, je finis par trouver un cheminement simple, mais qui m’aura pris mille détours. Oui, j’ai un sens de l’orientation un peu particulier.
Bien sûr, je ne m’attendais pas à trouver de telles réponses en une fois. Il m’a fallu pour cela mûrir et voir grandir et mourir plusieurs générations de vents pour apercevoir et comprendre la surface émergée de l’iceberg, pour en saisir les nuances en profondeur.
En plus d’apporter de beaux et intenses moments de pause dans les longs travaux d’extérieur qu’il y a toujours à faire, ces moments de méditations contemplatives sont aussi le temps qu’il faut pour mieux concevoir ce qui sera. Oui, c’est une bien belle phrase pour avoir glandouillé les pieds dans la terre en regardant voleter les insectes en mâchouillant une feuille d’oseille. Mais l’idée est là. ;o)
En plus, cela m’a aussi laissé le temps d’en discuter avec toute la famille, de voir ce que nous attendions de tout cela, ou du moins d’une partie de tout cela, d’en voir les contraintes, les limites, les potentiels, les absurdités, les réalités, les financements (eh oui… toujours lui…) et tout un tas d’autres choses encore.
Car oui ! Madame, monsieur ! Cette brève, mais toujours un peu confuse introduction est ainsi le démarrage de ce qui se trame ici depuis l’hiver dernier, des 5 années qui l’auront précédé, et des temps à venir !
Rien à voir avec les travaux de façade ou d’intérieurs, comme ces trous ci-dessous, dont je parlerai sûrement, ou peut-être, une autre fois. ;o)
Mmmmm…. que de souvenirs….. :o)
Non, là, il s’agit d’autre chose, de quelque chose de plus gros encore !
Pas seulement par sa taille, mais parce que, quelque part, il nous concerne un peu tous, et ceux qui suivront surtout, et puis nous aussi quand même… ;o)
L’idée (oui, oui, ça va, j’y viens quand je veux d’abord !) est de réoccuper environs 1 hectare de terrain, auparavant occupé par des charolaises du crû (mais que certains préfèrent souvent cuites), par un habile et naturel assemblage de diverses choses que je vais vous résumer en quelques mots extraits d’un texte que j’avais rédigé par ailleurs… Autant éviter les retapes ! ^_^
Pour vous cela ne change rien, mais pour moi, cela me laisse plus de temps pour emplir de lignes inutiles ce déjà trop long texte. ;o)
Pour compenser, une photo du Bief, quelque-part dans le Charolais-Brionnais… où se déroule donc la mise en place du projet ci-après…
Oui ! Là ! juste au bout de cette flèche rouge ! Ici se trame la mise en place d’un projet d’occupation des sols relativement commun, enfin, il n’y a pourtant pas si longtemps que cela puisque beaucoup d’anciens s’en souviennent encore par ici, et par chez vous aussi sûrement. Ou pas trop loin, selon là où vous vous trouvez présentement.
.
De la tour, on voit partir un mur, une rangée d’arbres le longe. Ce mur indique la direction du nord. Pour situer, quoi… :o)
Ah mais ! en fait, il est déjà tard là… Alors, comme ça fait longtemps que vous attendez d’avoir des nouvelles, je vais poster cet article de suite, comme ça, ça sera fait.
Et, comme pour beaucoup de choses virtuelles et cybertechniques, après la lecture de ce long article, vous n’en savez toujours pas plus, même si vous avez passé un agréable moment ! ;o)
Docteur Ordinateur Chauffailles - Roanne permet à ce projet de devenir chaque jour plus concret.
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